Notre monde va de plus en plus mal, dit-on!
Nous allons tous et toutes à la dérive, signalent plusieurs observateurs.
Monsieur stress cause des ravages, nous racontent les médecins.
Voici quelques réflexions pour mieux comprendre ce mal moderne, paraît-il?
Car le stress existe depuis toujours. Il correspond à une tension naturelle permettant la survie.
En effet, notre corps est naturellement stressé. Ainsi il est nécessaire de comprendre nos besoins vitaux. Répondre positivement à ses besoins, quand c'est possible, assurera la gestion de ce mal-être.
Mais le stress peut s'avérer être beaucoup plus négatif. Surtout quand il provient de résistances personnelles à voir, entendre et s'avouer notre propre réalité telle qu'elle est!
Les signes du stress négatif sont évidents: sueur, pâleur ou rougeur extrême, fatigue,nervosité, sautes d'humeurs, souffle court, entre autres.
Le stress négatif, dans la philosophie du raja-yoga, est perçu comme le résultat de pensées étroites créant de fortes tensions émotionnelles.
Ces pensées étroites sont le résultat de croyances obsolètes, explique la science de l'Adhyathma yoga.
À ce titre, le stress négatif invite chacun à changer le sens que nous donnons à notre vie. Ainsi, nous retrouverons plus rapidement le bonheur d'être, le bien-être.
Mais le fait est que nous résistons énormément!
Nos résistances, dévoile la science de tous les yogas, l'Adhyathma yoga, proviennent des peurs karmiques rejouées dans cette vie ici.
Autrement dit, nous avons transportés nos tensions d'un monde à l'autre et notre être se souvient!
L'enseignement du Kriya yoga professe qu'il est possible de dénouer les tensions créées par les peurs, envies, jalousies, et dépendances.
Pour cela, à la suite de Scott Peck, ( lire: le chemin le moins fréquenté) il nous faudra emprunter un chemin de réflexions, de compréhensions, et de retour au Soi.
Ce chemin ne pourra pas se passer de l'apprentissage de la méditation, du Hatha yoga et de la gestion de la respiration.
Savoir vivre est une chose, savoir vivre heureux, une autre!
Comentários